Dès qu’on finit avec Ludo Borecki
Interview Dès qu’on finit (les phases de déconfinement) avec Ludo Borecki, dessinateur de la BD, La vie compliquée de Léa Olivier.
Dès qu’on finit, tu vas refaire la bise à tout le monde ?
Pas sûr, malheureusement… Il faudra un peu de temps pour oublier les habitudes prises pour contrer ce fichu virus.
Dès qu’on finit, où iras-tu au restaurant ?
Je n’ai pas de restaurant préféré. Ce que j’aimerais avant tout, c’est partager un bon repas et un bon moment avec une personne que j’apprécie.
Dès qu’on finit, avec qui iras-tu boire un verre ?
Avec mes amis de l’atelier Armageddon, où je travaille, sur une terrasse ensoleillée après une belle journée de dessin.
Dès qu’on finit, quel film iras-tu voir au cinéma ?
Selon ce qui sera à l’écran à ce moment-là et selon mon humeur, un film romantique ou un film de super-héros.
Dès qu’on finit, où rêves-tu de partir en vacances ?
J’adore l’Italie, j’aimerais aller à Cuba et aussi visiter le Québec l’été.
Dès qu’on finit, à quel festival (fête, foire ou autres) veux-tu retourner en premier ?
À la Foire du livre de Bruxelles.
Dès qu’on finit, où fantasmes-tu d’aller en dédicace ?
Sur une île, la Guadeloupe par exemple.
Dès qu’on finit, t’as quoi comme livre qui va sortir ?
Le tome 8 de la BD La Vie Compliquée de Léa Olivier qui s’appellera Tornades.
Dès qu’on finit, quel bilan de tout ça dresseras-tu ?
On avait une belle vie avant l’apparition du virus et on ne s’en rendait pas suffisamment compte.
Dès qu’on finit, t’auras quoi comme mot de la fin ?
Ouf, c’est passé!