Dès qu’on finit avec Pierre Makyo
Interview Dès qu’on finit (les phases de déconfinement) avec Pierre Makyo, l’auteur de la BD Obie Koul, récompensée à Angoulême.
Dès qu’on finit, tu vas refaire la bise à tout le monde ?
Uniquement à Dimitri qui a toujours droit à ma reconnaissance d’avoir accepté OBIE KOUL qui avait été jeté de chez Dupuis.
Dès qu’on finit, où iras-tu au restaurant ?
Un petit restau près de chez moi. Tout fait maison !
Dès qu’on finit, avec qui iras-tu boire un verre ?
Avec Guy Delcourt.
Dès qu’on finit, quel film iras-tu voir au cinéma ?
Le prochain James Bond… Et surtout j’attends avec une immense impatience la suite d’Avatar.
Dès qu’on finit, où rêves-tu de partir en vacances ?
En Bretagne. Avec baignades.
Dès qu’on finit, à quel festival (fête, foire ou autres) veux-tu retourner en premier ?
Un salon du livre.
Dès qu’on finit, où fantasmes-tu d’aller en dédicace ?
À Bruxelles.
Dès qu’on finit, t’as quoi comme livre qui va sortir ?
Plusieurs, dont évidemment le tome 2 d’Obie Koul.
Dès qu’on finit, quel bilan de tout ça dresseras-tu ?
Qu’il faut qu’on prenne mieux soin de nous, des autres et de la planète. Mais qu’on comprenne bien que tout passe d’abord par nous-mêmes. De notre capacité à nous comprendre, à maîtriser nos émotions, nos projections et à réduire notre absurde et infatigable propension à juger et à accuser les autres et le monde de tout ce qui nous accable.
Dès qu’on finit, t’auras quoi comme mot de la fin ?
J’adore la BD. Cette possibilité de tout inventer, de tout dire, et de tout mettre en images et en mots. Quelle fabuleuse invention. Et quelle chance de faire ce métier et de le partager.